penser l'espace en sociologie


Ensuite 8 à 10 propositions seront développées par écrit (sous la forme d’un article de 40 000 signes environ remis avant la tenue du colloque, en vue d’une publication) et présentées lors du colloque par leurs auteurs. Et cela bien sûr en récusant une appréhension du territoire des émotions sur le mode essentiellement naturaliste (ce qui nous conduirait vers la psychologie ou les neurosciences) mais en prenant également distance avec les travaux de Maurice Merleau-Ponty, en particulier sa propension à « purifier » – c’est-à-dire à leur prêter un statut décontextualisé, logiquement antérieur à toute contextualisation, que les aménagements et savoirs de l’espace contribuent à transformer, à dénaturer, à médiatiser… mais à nous en déconnecter – certaines expériences spatiales intrinsèquement liées au corps, comme les expériences de la forme, de la grandeur, de la gauche et de la droite, du haut et du bas, ou encore de la profondeur. Löw M. (2015), Sociologie de l'espace, Paris, Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme. La trame sociologique de l’espace [Texte intégral] Éléments pour une pragmatique de l’espace et du commun. Accès en ligne; Détails; Statistiques; Fichier(s) déposé(s) par l'encodeur: Documents en relation. D’un côté, une attention plus importante à la dimension « esthétique » du social, à la sensibilité. a. Présentation schématique. Appliqué à la sociologie, ce dualisme de l'espace et des corps implique l'hypothèse que l'espace existe indépendamment de l'action. Une sorte de « faire corps » dans et avec l’espace. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2006 (généré le … Ville, société et action publique" de l’AISLF organise à Tours, les 3 et 4 juillet 2014, un colloque intitulé "Penser l'espace en sociologie". Autrement dit, la « contestation sociale » n’a pas besoin d’être thématisée, dans l’ « espace public » pour exister. Les voici rapidement identifiées : 16(1) En la situant aussi du côté de la sensibilité, ou du moins en attirant l’attention sur cette dimension, l’expérience spatiale apparaît comme une compétence, une compétence qui mobilise des intelligences symboliques bien sûr (des codes, des conventions, des savoirs acquis…), mais aussi des intelligences iconiques et indiciaires (Ferry, 2004). La dynamique du projet en design considère qu’on ne regarde pas simplement les choses et qu’on les met en action dans une pensée de projet. Une consistance qui autorise alors des stratégies, des prises de risque autrement improbables. (2011), « Épistémologies du Sud. Du 3 juillet 2014 au 4 juillet 2014 L'espace perd-il de son importance dans la structuration des sociétés humaines ? 25(2) Le texte est signé au nom d’un collectif. 2000. Quels sont aujourd’hui les modes de spatialisation et les espaces de la vie sociale des citadins ? 27Sans doute les précédentes remarques n’honorent-elles pas pleinement les apports de ce Dossier. Nous le savons encore de l’intérieur de la discipline sociologique, depuis notamment les travaux de Marcel Mauss. « Thinking space in sociology », Call for papers, Calenda, Published on Friday, December 27, 2013, https://calenda.org/271606, Sitemap | About us | Submit an event | Credits | Legal information | FAQs | Calenda RSS feeds | Restricted access, 2107-5646 | CNIL notification no. Comment le représente-on ? Il suscite des tensions entre conservation de la tradition et ouverture à la modernité. 23(1) Dans ce texte, plus que les acteurs eux-mêmes, ce sont les sociologues qui révèlent, qui mettent au jour le potentiel critique de cette centralité populaire que les acteurs étudiés se « contentent » de vivre et de pratiquer, parfois en le revendiquant. Les contenus de la revue SociologieS sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France. 4Chacun des textes, que ce soit l’analyse du confinement carcéral ou celle des processus participatifs, met tout d’abord en évidence le fait que l’espace ne peut pas être saisi comme un « contenant ». L’espace apparaît-il comme un facteur, une variable que l’on prend en compte –et dans ce cas, de quelle manière ? Ces positionnements sont sans doute révélateurs des évolutions récentes de la sociologie de l’espace bien sûr, comme y insistent les auteurs dans leur introduction, mais aussi de la discipline sociologique. De penser ensemble une expérience spatiale qui se manifeste aussi dans la sensibilité, mais une expérience qui se construit dans la coordination avec d’autres êtres, « humains et non humains » comme on dit maintenant. Accueil > SociologieS > Dossiers > Penser l'espace en sociologie > Postface au Dossier « Penser l’es... 1Que peuvent avoir en commun des articles portant sur la mémoire des bidonvilles, sur les pratiques sexuelles en milieu carcéral, sur les processus participatifs au sein des nouveaux mouvements sociaux, sur la spatialité des parcours de vie des SDF, sur les formes socio-spatiales qui se construisent pour faire de Roubaix une « centralité populaire », sur les scénographies muséales, sur le caractère réversible ou irréversible des mobilités en contexte de compression de l’espace-temps… ? 13En invitant à saisir l’espace comme expérience où s’enchevêtrent espace subi et espace agi, à saisir l’espace comme pratique et comme compétence, ce Dossier soulève un enjeu important théoriquement mais aussi par rapport aux enjeux des politiques publiques. enser l’espace en sociologie Équipe CoST 3 et 4 juillet 2014 Université François Rabelais, Tours 3 rue des Tanneurs Amphi XXX Colloque organisé par : le Comité de recherche Sociologie urbaine : villes, sociétés et action publique de l’AISLF l’UMR 7324 CITERES (CNRS-Université de Tours)– Equipe COST Thomas R. (2004) « Quand le pas fait corps et sens avec l’espace.
Aspects sensibles et expressifs de la marche en ville », Cybergeo : European Journal of Geography, Dossiers, 3ème colloque du Groupe de Travail Mobilités spatiales et fluidité sociale (GT23), « Offre urbaine et expériences de la mobilité », Strasbourg, France, 20-21 et 22 mars 2003. 10Toutefois, en parcourant les différents textes du dossier, nous ne nous trouvons pas tout à fait dans ce type d’approche. Comment dialoguent-ils avec les diverses disciplines qui s’intéressent à l’espace (de l’éthologie à l’ergonomie, en passant par la géographie et l’esthétique) ? [Full text]. 9Parce qu’ils ne sont ni des « choses », ni simplement des « contenants », l’espace et le temps se vivent dans la sensibilité. Construire une sociologie de l’espace qui serait une sociologie des absences (des expériences déniées, refoulées, oubliées, minoritaires…) et des émergences (des expériences autres). Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France, Comité de rédaction et comité de lecture, Le contexte, les partenaires et le processus : les contraintes éthiques dans les recherches collaboratives [Full text], Un bouleversement radical de nos repères anthropologiques et des conditions de la moralité : le déclin ou la fin de l’exception humaine ? Les contributions présentées ici ont été rassemblées à la suite d’un colloque intitulé « Penser l’espace en sociologie », tenu à Tours en 2014. Celui qui exploite cette dimension de la manière la plus « centrale » est sans doute le texte consacré à Roubaix compris comme « centralité populaire ». Toutefois, comme d’autres textes d’ailleurs, il prend le parti de montrer comment des organisations spatiales intentionnelles – l’espace conçu – ont bien sûr des effets inducteurs sur le spectateur ou le visiteur, mais du coup aussi comment ces effets inducteurs intentionnels peuvent échouer, et comment cet échec se manifeste « esthétiquement », au travers d’affects négatifs, malaise, ennui, frustration, mécontentement… ce qui peut entraîner, comme le montre le texte sur les dispositifs participatifs, des contestations explicites et la mise en place de pratiques spatiales contestataires, ou simplement autres. Un bouleversement radical de nos repères anthropologiques et des conditions de la moralité : le déclin ou la fin de l’exception humaine ? Lefebvre H. (1974), « La production de l'espace », L'Homme et la société, vol. 31, n° 1, pp. 15-32 - [En ligne] http://www.persee.fr/issue/homso_0018-4306_1974_num_31_1?sectionId=homso_0018-4306_1974_num_31_1_1855, Löw M. (2008), « The Constitution of Space. DI-fusion, le Dépôt institutionnel numérique de l'ULB, est l'outil de référencementde la production scientifique de l'ULB.L'interface de recherche DI-fusion permet de consulter les publications des chercheurs de l'ULB et les thèses qui y ont été défendues. 14Un des intérêts du présent Dossier se situe donc à mon sens dans le fait que le paradigme qui y est investigué n’est, sans les dénier, ni celui de l’écrasement du vécu par des processus de domination, ni celui de son enfermement dans des routines au travers du processus de stabilisation institutionnelle. Quelles sont les « espèces d’espaces » des sociologues de la ville ? Mais on pourrait trouver des traces de ces « échecs » dans de nombreux autres textes, comme celui sur les pratiques sexuelles en milieu carcéral qui met bien évidence comment ces échecs, et les négociations qu’ils suscitent, sont au cœur de l’installation des pratiques. De Sousa Santos B. Bien qu’elle cherche à revaloriser la place de la perception dans son approche de l’espace, en reprochant aux théories sociologiques d’avoir « négligé la perception en faveur des capacités humaines réflexives » (Löw, 2008, p. 40), elle construit son propre positionnement en affirmant que « les routines des activités quotidiennes et l’institutionnalisation de processus sociaux assurent la reproduction des structures sociales (et spatiales) » (Ibid). L’espace conçu n’est pas le monopole des architectes et urbanistes, il est issu d’un projet, toujours en décalage avec l’espace social « déjà là ». En repartant du « tournant spatial » des années 1970 et du travail de Henri Lefebvre, l’article ouvre une réflexion sur la portée sociologique et politique des questions spatiales. Dans le cadre des Amphis des lettres au présent, en partenariat avec l'UFR Lettres et langues de l'université de Poitiers. Les autres recherches feront l’objet d’une présentation synthétique de la part des membres du comité de sélection. 18Le texte sur la scénographie muséale est celui qui sans doute s’intègre le moins dans les convergences que j’ai fait remarquer à propos de « de qui on parle ». Le texte sur la mémoire des bidonvilles est à cet égard éclairant, montrant comment des mises en situation sont susceptibles d’activer l’expérience spatiale, en l’occurrence comment ces mises en situations concrètes sont susceptibles d’activer des représentations mémorielles, à partir des émotions suscitées dans le rapport à l’espace. Ces rectifications devraient avoir des conséquences non seulement sur … Comment délimite-t-on, définit-on, décrit-on un espace ? Cette dimension cognitive des liens entre émotion et spatialité transparait peut-être le plus clairement lorsque nous n’envisageons plus l’émotion dans le présent de l’expérience, mais plutôt dans une perspective de décalage temporel, comme l’illustre le texte sur la mémoire des bidonvilles. Comment les travaux de sociologie urbaine articulent-ils catégories sociales et catégories spatiales ? (2015), L’Espace, un objet central de la sociologie, Toulouse, Éditions Érès. Conférence de Stéphane Beaud, agrégé de sciences sociales, professeur de sociologie, université de Poitiers. Les apports et débat théoriques sont bienvenus du moment qu’ils éclairent la démarche sociologique. (6) Pour avoir accès à ces expériences, seule une sociologie plongeant dans l’agir, et s’y intéressant de manière patiente, paraît devoir s’imposer, un agir en contexte, en situation, un agir en commun aussi. L’amplification des différentes formes de mobilité spatiale est-il, comme le pensent certains sociologues (John Urry par exemple), un facteur de transformation radicale des sociétés humaines ? À l’encontre de cette position, je me référerai aux travaux de Vincent Descombes qui préfère lui substituer ce qu’il appelle une anthropologie pragmatiste (Descombes, 2009, pp. 185-186) centrée sur l’action, sur la pratique de l’espace. Et cette potentialisation peut d’ailleurs être mise en relation avec des contextes globaux comme le montre le texte sur les expériences de mobilité qui souligne en quoi la « compression de l’espace-temps » ouvre des « marges de manœuvre… en termes de déplacement et d’échanges à distance ». Colloque « Penser l’espace en sociologie » Colloque organisé par le Comité de recherche « Sociologie urbaine : villes, sociétés et action publique » de l’AISLF et l’UMR CITERES (7324) – Equipe COST, En partenariat avec le Centre Max Weber et le Lab’Urba. Une fois acquise l’idée que la spatialité est quelque chose qui s’éprouve dans la pratique et qui se comprend sociologiquement à partir des pratiques, la question de « l’institution de l’espace » tend à devoir être saisie à ce même niveau, en terme de coordination, d’ajustements, d’essais, de bifurcations… Bien entendu, la coordination spatiale peut dépendre de structurations formelles comme l’exemplifient le code de la route, la signalisation routière, la configuration des voies de circulation… qui ensemble constituent une « police de la route ». Sans doute est-il utile de le citer ici longuement, en rappelant que son propos se situe dans une perspective post-coloniale, cherchant à circonscrire une « épistémologie du Sud » mais sans que le « Sud » ait ici, comme il le répète, de connotation géographique, c’est-à-dire sans qu’il s’agisse de rejeter en bloc les apports du « Nord », comme par exemple la tradition des droits de l’homme dont il se revendique d’ailleurs 1 : « La possibilité a une dimension obscure ou opaque en ce qu'elle prend sa source dans le moment vécu, qui n'est jamais complètement visible à lui-même, et en ce qu'elle contient un élément d'incertitude dû au fait que les conditions qui rendent la possibilité concrète ne sont connues que de manière partielle et au fait que ces conditions n'existent que de manière partielle… La sociologie des émergences est une enquête sur les alternatives contenues dans l'horizon des possibilités. De l’autre, des positionnements critiques étayés sur des pratiques qui ne se revendiquent pas nécessairement comme critiques, mais qui, comme le fait remarquer Luc Boltanski dans le livre qu’il consacre à la critique, dans des expériences ou des épreuves existentielles (Boltanski, 2009). Les images des bidonvilles réactivent des flux mémoriels, les différentiels dans l’appréhension de la visibilité spatiale orientent les formes prises par les pratiques sexuelles en milieu carcéral, participer s’avère être certes une pratique délibérative, mais aussi une pratique spatiale… Il y aurait là sans doute des parallèles à faire avec la montée en intérêt, au sein de la sociologie actuelle, de la thématique de la subjectivation, mais une subjectivation pensée moins sur le modèle de l’identité que sur celui de l’expérience. 5Les divers textes de ce Dossier me semblent plaider pour ce que j’appellerai – en me rendant bien sûr compte de la difficulté des termes – une « phénoménologisation » de la question de l’espace. Aucun phénomène social n’échappe à l’espace. 8Tout cela nous invite donc à considérer, comme le fait par exemple l’article sur les espaces de la participation (c’est-à-dire celui dont l’objet renvoie le plus directement aux échanges argumentatifs), une esthétique, une aesthesis de l’expérience spatiale, qui se soucierait de saisir ce qu’on pourrait appeler les « affects spatiaux », les « émotions spatiales », l’aise ou le malaise, mais bien d’autres émotions aussi, liées aux présences à l’espace, et à les saisir à partir de, dans leurs manifestations. Mais elle est aussi liée à la nécessité de repenser sans cesse l’espace en relation avec les autres disciplines qui accordent à cet enjeu la même prééminence. Penser l’espace en sociologie Enjeux théoriques et pratiques de recherche Le Comité de recherche « Sociologie urbaine. « Espace en société », Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes. Villes, sociétés et action publique » de l'AISLF organise à Tours, en collaboration avec l'université de Tours, l'UMR CITERES (équipe COST), le Centre Max Weber (Université Lyon II) et le Lab'Urba (Université Paris-Est), les 3 et 4 juillet 2014, un colloque intitulé « Penser l'espace en sociologie. L’appel à communication porte sur trois grandes questions. Cette phrase renvoie très directement aux travaux d’Henri Lefebvre qui, comme chacun s’en souvient, évoquait dans son approche triadique de l’espace, l’espace « vécu » à côté des espaces « perçu » et « conçu ». Le comité de recherche « Sociologie urbaine. Penser l’espace en sociologie [Texte intégral] Introduction au Dossier. Penser en terme d’appropriation de l’espace conduit en effet à envisager l’occupation ou l’usage de l’espace, mais aussi sa production et son détournement, son marquage, sa valorisation ou inversement sa stigmatisation. La pensée marxiste et la ville, Paris, Casterman. Et il est évidemment possible d’analyser comment les acteurs acquièrent ces « compétences spatiales » (Cholez, 2008), comment ils en font usage, comment ils les transgressent… Il me semble toutefois que le dossier invite à se situer à un autre niveau, celui de l’institution comme processus, dans lequel les compétences spatiales révèlent, sans pour autant les « enchanter », leur inventivité, leur créativité, leur productivité... La plupart des textes l’évoquent plus ou moins explicitement. Ici, ce sont les relations entre sociologie et géographie qui sont explorées dans une perspective sans doute moins ambitieuse, mais plus précise. Enjeux théoriques et pratiques de recherche », qui portera sur les questions suivantes : pourquoi la sociologie a-t-elle longtemps délaissé la question de l'espace ? Voir la notice dans le catalogue OpenEdition, Plan du site – Mentions légales & crédits – Flux de syndication, Nous adhérons à OpenEdition Journals – Édité avec Lodel – Accès réservé, Revue internationale des sociologues de langue française, généraliste et ouverte à la diversité théorique et méthodologique, Les politiques urbaines en région bruxelloise, Postface au Dossier « Penser l’espace en sociologie », Publier en français dans un monde globalisé : raisons et déraisons, La consistance des êtres collectifs. À bien le lire, il apparaîtrait comme s’inscrivant parfaitement à la fois dans une sociologie des absences et dans une sociologie des émergences. Notre interrogation sur le couple espace/sociologie émerge d’un champ particulier de la sociologie, la sociologie urbaine, qui s’est nourrie de travaux dont l’espace est l’objet. 1Ce numéro voudrait contribuer, sur plusieurs points, au projet pluridisciplinaire de Sociétés Contemporaines.Dès son premier numéro, en 1990, la revue publiait en effet un dossier portant sur les relations entre histoire et sociologie. « Le ‘big man’ local ou la ‘gestion coup d’État’ de l’espace public », Politique africaine, n° 80, décembre 2000. Theoretical issues and research practices, Enjeux théoriques et pratiques de recherche, Published on Friday, December 27, 2013 by Julie Abbou. Intègrent-ils, et si oui de quelles manières, les apports d’autres disciplines (SHS, philosophie, mais aussi mathématiques ou physique) à leurs démarches ? », Études rurales, vol. 1, n° 187, pp. 21-49 - [En ligne] www.cairn.info/revue-etudes-rurales-2011-1-page-21.htm consulté le 9 janvier 2016. Ces sociologues de l’espace, fortement inspirés par leur culture philosophique, ont eu le mérite d’affirmer qu’une théorisation de l’espace devait être au centre de la sociologie urbaine et de la sociologie en général. Et cela tout en ne comprenant pas les affects sur le seul mode passif, sur le mode des « passions », mais aussi sur le mode actif, en y décelant des éléments constitutifs de l’action. Autrement dit, là, ce que Boaventura De Sousa Santos vise par « absence » est le plus souvent contesté par les acteurs eux-mêmes qui entendent se rendre « visibles », alors que l’expérience roubaisienne ne porte pas cette ambition. J’ai tenté d’y voir des positionnements communs au-delà des profonds écarts thématiques. Nous pouvons nous servir de cette notion pour poser ou approfondir un certain nombre de questions théoriques. The Structuration of Spaces Through the Simultaneity of Effect and Perception », European journal of social theory, vol. 11, n° 1, pp. 25-49 - [En ligne] http://lepo.it.da.ut.ee/~cect/teoreetilised%20seminarid_2009%20sügis/4_seminar_AEGRUUM_08.12.2009/3.Loew-The_constitution_of_space-2008.pdf. Ce qui distingue ces 2 manières c’est ce qui doit être premier dans les processus sociaux étudiés. Lefebvre, H. 1972. Y porter attention, les « prendre au sérieux » comme le revendique le texte.

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